février 16, 2016

ARRÊTER DE FUMER 1 Dépendance et volonté

LE CORPS
.

Voici le jour où je me suis dit qu’il était temps  d’arrêter de fumer.  J’y suis presque parvenue. Je dis presque car -spoiler alert-, ce jour là je n’y suis pas parvenue. ce que j’ai entamé en revanche ce sont les premiers pas vers un arrêt définitif et durable.

Premier essai.

Hier je me suis allongée cinq minutes. Dans ma tête ça tournait en boucle et parmi mes nombreuses pensées, une est venue clignoter. « Merde tu n’as plus de clope, faudra partir plus tôt pour passer au bureau de tabac ».

Tout doucement je me suis dit, « et si je n’y allais pas ? Et si j’arrêtais maintenant comme ça, là, toute seule. Il suffit juste de ne pas y aller. Un point un trait. Voilà je fais ça. J’arrête de fumer ».

Une fraction de seconde après cette grande décision, j’ai commencé à paniquer. Mon cœur s’est emballé, j’avais très chaud, j’étais grisée, électrisée par cette nouvelle liberté, par le pouvoir que me donnait cet élan enfin trouvé. Des mois que je voulais et cherchais la volonté d’arrêter.

Je n’ai pas toujours détesté fumer, au contraire. Je fume depuis très longtemps et j’ai toujours trouvé beaucoup de plaisir à le faire. Je n’ai jamais vraiment ressenti le besoin d’arrêter. Je trouvais ça cool, je savais que j’étais dépendante mais je mettais allègrement un mouchoir sur les dangers certains et les désagréments. Et le fric foutu en l’air.

Quand vient le dégout.

Depuis quelques mois, je suis complètement dégoutée de la cigarette. L’odeur, l’argent que cela me coûte, le fait de sortir pour fumer et me les cailler sévère dehors, tout me répugne. Mais voilà, je suis complètement dépendante. C’est la merde les gars, c’est la merde !

Hier donc, entrain de suer sang et eau sur mon canapé, entre griserie et trouille absolue, il a fallu que je me lève et que j’affronte ma nouvelle vie sans cigarette. J’ai d’emblée appréhendé « le manque » et très vite je me suis raisonnée en me disant que je n’étais pas héroïnomane non plus. On venait de regarder Pulp Fiction, en même temps ça ne m’a pas aidé à ne pas faire ressortir la drama queen en moi.

Et puis j’ai senti poindre un peu d’agacement, très vite suivi par une mauvaise humeur, je voyais les heures tourner et redoutais un peu le retour des miens.

Ça n’a pas loupé. Presque six heures sans cigarette et c’est parti au quart de tour. Pour rien, pour des broutilles, je suis passé du stade « déterminée » au stade « monstre sans volonté et sans retenue ».

Je suis capable de grimper dans les tours en un claquement de doigts alors que je suis habituellement maternelle et dans l’écoute. Mais pas hier manifestement. Non hier j’ai perdu le contrôle en une fraction de seconde. J’ai envoyé valser tout le monde en claquant des portes et en lâchant deux trois insanités au passage. Dans les tours, j’ai en général le langage assez fleuri.

J’ai tenu cinq heures et quarante minutes. Et je suis partie acheter un paquet de cigarette.

Arrêter de fumer: l'importance de se faire aider.

Avec sur le siège passager, toute ma culpabilité, ma honte de m’être comportée ainsi, mon envie de me mettre des claques et le poids de l’échec. Mais aussi avec deux certitudes nouvelles : je sais maintenant que je suis capable de prendre LA décision et que je vais avoir besoin d’une aide médicale.

J’ai commencé à me renseigner. Je refuse l’hypnose (personne ne rentre dans mon esprit merci bien) et je voudrais me sevrer sans substitut de geste. J’ai essayé, ça fonctionne à merveille sur plein de gens, mais pas sur la Mia Wallace que je suis.

J’écris tout ça ici ce soir comme pour ne pas laisser tomber. Pour entreprendre ici et maintenant une réelle remise en question. Pour me rendre compte une bonne fois pour toute qu’à la différence des derniers arrêts, cette fois je n’aime plus fumer. Mais aussi parce que je suis persuadée que je ne suis pas la seule dans ce cas.

Parlons en si vous le voulez bien. Comment avez vous fait ? Diminution progressive, arrêt tout net ? Patch, chewing gum à la nicotine, sport ? Avez vous pris du poids, comment l’éviter ? Ça ça me fout une trouille monstrueuse aussi.

J’ai lu qu’une thérapie cognitive et comportementale pouvait avoir de très bons résultats, j’ai envie d’essayer. Je connais également le nom (donné par une lectrice) d’un bon acupuncteur dans ma ville. Mais je doute affreusement de moi sur ce point là. Vous avez des retours sur ces deux points ?

De la volonté à l'envie d'arrêter de fumer.

J’ai vu un début de volonté hier, immédiatement anéantie par l’horrible bête du manque tapie au fond de moi. Je ne vais pas lâcher cette lueur. Je sais maintenant que je vais y arriver. Comme un mantra.

Je vais y arriver.

Je vais y arriver.

Je vais y arriver.

J’ai toujours dis que j’avais un mental de flageolet. C’est faux. C’est l’homme qui me l’a fait remarquer. « Tu ne savais pas coudre, tu as appris. Il y a quatre ans, tu n’avais jamais tenu un crochet de ta vie, maintenant rien ne te résiste. Tu es persévérante, quand tu tombes, tu recommences. Tu es capable de transposer la volonté que tu donnes à tes mains à ton arrêt de la cigarette ».

Il a raison.

Je vais y arriver…

Tout cela est très difficile à admettre, parce que oui la cigarette est une drogue, une saleté de dépendance. Je prie chaque jour pour que mes enfants ne commencent jamais, pour que ma mère arrête aussi. Mon grand commence à avoir l’âge ou malheureusement il pourrait être bientôt tenté par les copains, pour faire genre. Je voudrais lui donner l’exemple, pour le moment je suis plutôt un contre exemple sur ce point. Mais il est encore temps pour bien faire.

 

Je vous embrasse.

Camille

 

PS : Bon je me suis mise un peu à poil là, me laissez pas toute seule hein, dé sapez vous et racontez moi !

PS2: En photo, Kate, le chat qui déploie une incroyable volonté à dormir ainsi sous les fleurs toute la journée. La garce!

PS3 en forme d’édit… j’ai finalement réussi à arrêter de fumer. La suite est là.

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62 commentaires

  1. Répondre Maelstromarie février 16, 2016 à 7:59

    Bonsoir Camille,
    C’est compliqué le manque. J’ai arrêté de fumer du jour au lendemain pendant 7 ans. J’étais avec une personne qui ne supportait pas la cigarette, et l’amour ça aide comme motivation. Je n’ai pas pris de poids, j’en ai perdu. Tout ce que j’ingurgitais me découter, seules les bananes et les tartelettes bonne maman à la framboise était tolérées par mon palais. J’ai lutté pas mal avec moi même les premières semaines et j’ai évité tous les fumeurs de mon entourage (sympa !). Et l’envie et l’habitude sont parties. Par contre, je n’ai pas arrêté pour moi, mais pour quelqu’un et ça n’a pas manqué, le soir où on s’est séparé, j’ai acheté un paquet de clopes à 10 balles au kebab du coin. Pas bien. :/

    • Répondre Merry chelotte février 16, 2016 à 8:15

      Bonsoir Camille,
      J’ai arrêté de fumer en juin 2015, avec des patchs des patchs des chewing-gums, des pastilles des patchs tous les trucs qu’on trouve en pharmacie….et cela après une bonne vingtaine de tentative d’arrêt….tous ratés !
      J’aime fumer, vraiment, cela me manque fort parfois. Mais profiter pleinement de ceux que j’aime, sans avoir une petite voix qui me fait peur au fond de moi est mille fois meilleur que toute les cigarettes du monde.
      Si tu as eu un déclic c’est que tu es prête, alors bon courage à toi, tu vas y arriver ! Oui !!!
      Merci pour tes textes qui sont toujours d’une belle justesse.
      Charlotte

  2. Répondre Coralie février 16, 2016 à 8:07

    Je laisse un commentaire par solidarité féminine. Mais en vrai, j’aime ma petite clope du soir. Je fume depuis longtemps avec des pauses : un départ à l’étranger, mes grossesses. Je ne fume jamais le matin et très rarement avant 18h. Je fume une ou deux cigarettes le soir et puis en soirée. Et j’aime ça. Alors pour l’instant, je n’ai pas envie d’arrêter. Désolée, je ne t’aide pas. Je suis dépendante, je le sais. Mais comme je suis une dépendante du soir et des soirées, je me dis que bordel, je les ai bien méritées celles-là ! Courage Camille ! Arrêtez a été plus dure pour la grossesse de Gabrielle mais finalement, je l’ai fait. Et c’est avec délectation que j’ai repris comme pour dire, je suis maman mais en vrai j’ai 15 ans… Je t’embrasse ma jolie !

    • Répondre Clémence février 16, 2016 à 8:14

      Bonsoir Camille… Foutue clope. J’ai arrêté de fumer il y a 3 semaines. Ça commençait bien, j’étais fière comme une poule et puis petit à petit, de jours en jours elle m’a manqué la bougre. Beaucoup trop… J’ai cru encore quelques jours que j’étais plus forte qu’elle… Tu parles. J’ai racheté un paquet après avoir hurlé sur mes 3 Quequettes farcies. C’est parti tout seul. J’avais jamais autant hurlé de toute ma vie… J’ai envie d’y arriver. Je ne sais pas par quel moyen. Je crois qu’il faut que je sois vraiment prête. Je crois qu’il va me falloir beaucoup de courage et surtout beaucoup de volonté… Bref j’ai lu ton post et je me suis reconnue. C’est la loose mais on va y arriver ! Je t’embrasse… Les Quequettes sont au lit, je vais m’en griller une 🙂 !!!

  3. Répondre Julie février 16, 2016 à 8:15

    Forza! j’ai arrêté de fumer il y a 10 ans! Dans un bureau fumeur, un milieu pro (musique) fumeur, un futur mari fumeur… je fumais plus d’1 paquet par jour, les clopes me dégoûtait, j’étais tout le temps malade, je ne sentais pas bon.
    J’ai lu le fameux petit livre d’Allan Carr et j’ai écrasé ma dernière cigarette quand j’ai fermé le livre. Je n’ai jamais refumé. Je sais que si je refume demain je repart de plus belle! Mon mari a fait une pneumonie et a arrêté aussi.
    a chaque fois que tu as envie de fumer fais autre chose : un truc à laver, un peu de crochet, un tour dans le jardin ou autre et tu verras que ton envie va disparaître en un rien de temps. Avec l’arrêt de la clope j’ai redécouvert le bon goût des aliments, du vin, du café, les odeurs etc… Les bonnes choses quoi! Si tu as eu le déclic c’est que tu en es capable. Tu es assez forte pour y arriver! Bravo!

  4. Répondre Rosa février 16, 2016 à 8:19

    Je me suis simplement arrétée. Un jour je n’ai pas fumé, ni l lendemain, ni la semaine suivante, et 5 ans sont passé depuis. Si un jour je vais trés mal l’envie me reprend,ou si je dois faire un travail d’observation, mais ça passe vite. Je pense que la meilleure raison est celle de vouloir vraiment s’arréter. Alors si vous ne vous sentez pas, continuez à fumer, mais essayer d’éliminer quelques cigarettes, je ne connais pas vos routines, mais arrêter la cigarette du matin par exemple … En tout les cas, courage et merci encore une fois de votre vérité!

  5. Répondre Marie DM février 16, 2016 à 8:21

    J’ai arrêté de fumer un 31 octobre pour le 9ème anniversaire de mon héritier. Il m’avait demandé ce cadeau et aucun autre. « Parce que sinon tu vas mourir et moi je n’aurai plus de Maman. » Des mots de môme et un déclic. J’avais déjà arrêté la clop pendant ma grossesse puis le temps de l’allaitement. L’idée d’un bébé chétif par tabagisme passif me révulsait. Puis j’avais craqué allègrement un soir de blues… Et fumé à nouveau comme un sapeur. La demande de mon fils était sans doute le signal qu’il me fallait. J’étais dans le même état d’esprit que toi, dégoût de l’odeur du tabac froid de mon haleine de cow girl après une chasse au Bison, désespoir de la tige fumée sur le balcon par temps venteux pluvieux neigeux. J’ai juste expliqué à mon garçon confiant que je n’étais pas sûre d’y arriver et lui implacable avait rétorqué que si, que je ferai comme lui avec le biberon (bu et tété jusqu’à 7 ans), hop on jette à la poubelle et on dit terminé promis craché juré. C’est ce que j’ai fait. Sans substitut sans hypnose. Juste le soutien de mon Petit. Chaque jour Cyril barrait sur un calendrier la journée sans tabac de Maman. J’ai pleuré j’ai fait des cauchemars j’ai déprimé à cause du manque. J’ai grossi je suis tombée plusieurs fois malade tandis que bronches et poumons se décrassaient. Je me suis montré exécrable odieuse coléreuse mesquine et chaque fois que je m’en excusais mon petit bonhomme répétait: c’est pas grave maman il ne faut pas « re »fumer. C’était il y a 12 ans. Je n’ai plus jamais allumé une cigarette. J’ai eu envie au moins deux ans après l’arrêt. Sans craquer. Je savais que ça me serait fatal. Un de mes très bons amis à qui je disais trouver injuste d’avoir pris du poids m’a répondu que je mourrai avec de grosses fesses mais des poumons propres. Tu trouveras le bon moment et la méthode adéquate te concernant. Ton texte m’a une fois de plus beaucoup touchée. Te lire est un peu magique. Je t’embrasse. Marie

  6. Répondre Plume février 16, 2016 à 8:21

    nous y voilà…tu viens de décrire ce qui traverse mon esprit environ toutes les semaines. J’adore fumer, et je m’en grille vraiment un bon paquet à la petite journée! Et puis, plus de clopes, je tente d’arrêter, je monte dans les tours avec le verbe haut,puis je descends au tabac avec la volonté d’arrêter au plus bas…
    Et je me dis je peux le faire, mais pas là…lundi. Lundi c’est bien pour commencer à arrêter. Ouais et puis lundi à 18h il y a forcément un truc qui m’agace, qui me stresse et je m’en grillerai bien une. Viiiiite avant que le tabac ferme. Je prends deux paquets au cas où. Lundi prochain c’est loin.
    Ouais, je les achète par deux, comme ça si je veux arrêter je peux.
    Je sais c’est vraiment naze!
    Et je culpabilise, j’ai peur pour ma santé…et plus j’y pense, plus ça me stresse, plus je fume!
    Bref, tabac arrête moi si tu peux!

  7. Répondre Marcel et Marcelle février 16, 2016 à 8:24

    Coucou Camille,
    Je vais te raconter en quelques mots (ou plutôt plein plein de mots) mon expérience avec celle que j’ai tant aimé pendant tant d’année.
    Après avoir essayer d’arrêter à plusieurs reprises sans succès, mon tout jeune mari et moi nous sommes dit une semaine après notre mariage: Et si on arrêtait ensemble? Bon ok on avait plutôt une bonne excuse, on avait décidé de fonder une famille. Bref un mois plus tard et m’étant délestée de quelques amis superflue (j’etais un peu tendue) me voilà enceinte. J’avoue que de ne pas avoir galèré à tomber enceinte m’a beaucoup aidée! Pas pour la prise de poids par contre +20kg mais je sais pas si c’est pour la clope ou pour mon fils de 4,520kg ???
    Par contre Pendant toute ma grossesse je me suis dit qu’une fois délivrée je fumerai une cigarette et siroterai un bon petit verre de vin. Mais heureusement une amie Addict à la clope m’a mise en garde, surtout n’y retouche pas. Je l’ai écouté du coup la bouteille y est passée mais pas la clope.
    On tient depuis maintenant depuis 5 ans et je me sens sincèrement libérée.
    J’espère de tout cœur que tu trouveras le petit coup de pouce qui te permettra d’arrêter.
    Je t’embrasse!

  8. Répondre bouDU février 16, 2016 à 8:24

    Bon allez je sors du sous bois où j’étais bien tranquille tu noteras. Mais y a urgence. Demain tu files à la ville et vas t’acheter le bouquin d’allen carr que tu te lis dans la journée.

    Demain soir tu es non fumeuse. Dépense totale genre 6 euros. Si comme moi tu es littéralement paniquée à l’idée de ne jamais y arriver tu gardes à vue un paquet de clopes. Pour tes futurs invités. Pour ta peur. Pour ta panique. Et les premiers jours. Chaque fois que tu paniques tu viens regarder ton paquet droit dans les yeux et tu lui dis : je t’em….

    Si il est la juste à côté. Tu ne risques plus rien. Tu ne monteras pas dans les tours. Il est la ocazou. J’ai fait ça le 20 septembre 2003. Le paquet m’a suivie de déménagement en déménagement jusqu’en 2008.

    J’ai toujours envie. Je renifle toujours la bonnne odeur. Mais je sais. Je sais que je peux tout faire dans la vie SANS la clope. Tout. L’amour. Un film. Une bonne bouffe. Une grosse engueulade. Finir un bouquin. Rouler l’été en bagnole vitre ouverte ou même souffler des bougies bourrée en chantant du Sardou SANS la clope.

    Tu vas en ch.. Des ronds de chapeaux 5 ou 6 jours. Pas plus. Promis. Tu jettes un œil noir à ton paquet à la maison et ça ira. Et au pire sur ces cinq jours tu vas à la piscine, tu fais du vélo comme Bacry, tu vas courir c’est à la mode, de la Zumba ou de l’accrobranche.

    On est trop nombreuses derrière toi pour que ça ne marche pas. Si c’est facile pour nous d’être non fumeur alors ce sera facile pour toi aussi. Le jour où tu comprends ça tu es libérée.

    Et sinon pense au pognon !!!

    Et ne pose aucune question sur le poids…

    Le mot de Cambrone, bouDU

  9. Répondre Paulette février 16, 2016 à 8:43

    Alors je vais me mettre à poil aussi. Je fumais depuis la 3 eme soit depuis 20 ans et j’en etais à un paquet par jour ^^ Après une fausse couche , pour laquelle j’avais arrêté de fumer, mon premier réflexe a été de reprendre pour me faire du bien, me consoler …. Et la le déclic : la seule façon pour moi de me faire du bien c’était de fumer ? Donc de me faire du mal ?? Tu me suis ? 😉 ce jour là j’ai décidé de m’aimer, d’arrêter de me détruire . et puis cette fausse couche, il fallait que j’en fasse quelque chose de bien. et depuis , deux fois une clope en soirée (arrosée ) avec envie de vomir après . et depuis…. Rien du tout.yeah!! Ça va faire deux ans 🙂 je n’ai plus eu envie depuis,comme si je n’avais jamais fumé. Je crois que sur ce coup mon cerveau a du comprendre qu’il n’y avait pas moyen de négocier ! alors je n’ai pas de conseil à te donner mais si c’est le bon moment pour toi tu vas y arriver. Et je ne te parlerai pas de « volonté  » mais plutôt d’envie de gagner un combat ( la fight en mode warrior quoi hihihi !!) bon courage !

  10. Répondre morgane février 16, 2016 à 8:51

    9 ans sans cigarette, 9 ans que je colle mes amis qui sortent fumer car j’aime toujours cette odeur . Bref j’ai arrêté comme ça du jour au lendemain car c’était la seul condition pour qu’on ai un bb alors la motivation je l’avais hein 😉
    Enceinte aucune envie mais après l’arrivé de mon bb la j’ai lutté, j’ai mené une bataille contre moi mm pour ne pas reprendre je perdais vite patiente et puis fallait que j’occupe mes mains bref je me suis mise à coudre c’est bête hein mais ça a fonctionné pour moi je pensais à autre chose .
    Et puis un jour une amie formidable m’a appris le crochet et la bim je suis devenue accro bref j’ai remplacé une addiction par une autre pour moi la solution fut de toujours avoir de quoi occuper mes mains et mon esprit .
    Je t’embrasse et te souhaite d’y arriver

  11. Répondre Lilou février 16, 2016 à 8:53

    Vous allez y arriver !
    Vous allez y arriver !!
    Vous allez y arriver !!!

  12. Répondre YeahYeah février 16, 2016 à 8:58

    Moi c’est pas la clope c’est le coca. J’ai des kilos en trop je souffre le martyre avec mon estomac mais je n’arrête pas. J’en ai besoin. Ma volonté dure 24 h maxi. Je ne me fâche pas par contre mais ça m’obsède. L’autre jour au mcdo ils m’ont mis un ice tea au lieu de mon coca mon petit plaisir du vendredi soir. Putain j’ai failli chialer. J’y avais pensé toute la journée … Le vice. C’est laid.

  13. Répondre Rengaine février 16, 2016 à 9:07

    Arf… moi j’avais une bonne excuse : j’étais enceinte.. je n’avais pas du tout envie d’accoucher d’un bébé gris et souffrant de toutes les affreuses choses auxquelles on pense lorsque l’on est enceinte. Alors bon, je me suis dit que si je pouvais m »en passer pendant neuf mois, je pouvais continuer encore plus longtemps. Je ne fume donc plus du tout la semaine, même plus celle que je préférais, celle du soir, lorsque je rentrais du travail.
    Par contre, j’avoue, j’ai toujours un paquet chez moi car j’ai encore du mal à me passer de la clope « j’ai un petit coup dans le nez »… Personne n’est parfait ^^

  14. Répondre Claire février 16, 2016 à 9:07

    Une envie d’arrêter, une séance d’acupuncture, et je n’ai pas fumé depuis 18 mois. Pour le poid je recommande la dététicienne dès l’arrêt, (la mienne est spécialisé en sevrage tabagique ça aide beaucoup quelqu’un qui comprend ce qui se passe ) j’ai fais ca et sans privation je n’ai pas pris un kilo. Courage et c’est pas toujours simple mais faisable.

  15. Répondre karine_ février 16, 2016 à 9:08

    Ce n’était pas pour la cigarette mais mon amoureux et mon grande fille sont allés faire un peu d’hypnose pour faire face à des crises d’angoisse. Ils en sont ravis et retourneraient en voir un si la nécessité s’en faisait sentir. Ca leur a permis de ne pas prendre de médicaments.
    Ma grande fille (16 ans) m’a dit que le médecin lui avait donné des clés pour faire face à ses angoisses (l’année du brevet), résultat, elle a décroché un 38/40 en histoire des arts alors qu’elle appréhendait le passage à l’oral. Elle lui a aussi appris à gérer l’avant crise (travailler son oral dans son cas).
    Tout ça pour te dire que l’hypnose peut aussi être une solution, il faut juste trouver le bon, celui qui t’apprendra à gérer le manque 😉

  16. Répondre Christine février 16, 2016 à 9:23

    J’ai arrêté en janvier 99 alors que je couvais un zona. J’avoue, la trouille d’avoir un truc grave face à ces douleurs inconnues sans autres symptômes apparents m’a bien aidée à me décider ! Je me suis fait aider par un homéopathe acupuncteur qui m’a fait de l’auriculo thérapie. Le résultat fut surprenant : la clope en sortant du cabinet était dégueu et une grosse semaine après et une autre séance je ne fumais plus rien alors qu’il me fallait 1,5 à 2 paquets par jour. J’ai eu un suivi pendant 3 mois et des préparations homeo pour le sommeil et l’humeur.

    J’ai mâché des tas de chewing gum, fréquenté + ou – assidument la salle de sport, me suis fait un gros plaisir chaque mois avec ce que j’économisais et aussi pas mal râlé. Au bout de quelques mois tout ça s’est tassé (sauf les chewing gum).

    Mais après il a fallu tenir le coup. Ma solution : ne plus jamais y goûter. Pas de miracle pour ça (penser à ou faire autre chose quand l’envie arrive).

    3 ans plus tard je m’installais avec un fumeur qui fume encore, dehors hein, et la seule chose qui me gêne vraiment c’est l’odeur de clope de sa voiture.

    Voilà je crois qu’il faut surtout le vouloir. Après les substituts nicotiniques doivent aussi bien aider. Mais puisque tu le veux, il faut foncer…

  17. Répondre Géraldine de la Crèche de Violette février 16, 2016 à 9:23

    Bonsoir Camille!
    Suite à des petits soucis ORL j’ai du arrêter de fumer… Ce n’était pas à proprement parler « ma » décision, mais j’ai eu tellement la trouille que je n’ai pas protesté.
    Je suis sortie du cabinet ORL pour aller pousser la porte de celui du Dr Maret que je vous recommande!
    En 1 séance il m’a permis d’arrêter… cela fera 1 an le 21 mars!
    C’est un acupuncteur et les gens viennent de très loin pour le voir. Il faut 1, 2 parfois 3 séances mais à ses dires « jamais plus ». Je n’étais pas stressée ou énervée, je n’ai pas ressenti de manque, je n’ai pas compensé avec une autre habitude ni la nourriture et je n’ai pas pris de poids! Phénoménal!!
    Bref, si les aiguilles et les longues barbes façon ZZTop ne vous rebutent pas… 😉 Il est super!
    Aujourd’hui je n’y pense même plus, c’est dire!
    Je vous souhaite d’y arriver, en douceur et à la façon qui vous conviendra!
    Bises à toute la famille (mais la plus grosse à Violette 🙂 )
    P.S: Jean-Pierre Maret, rue Monjardin à Nîmes

  18. Répondre Magali février 16, 2016 à 9:29

    Ah ben tiens ! En voilà un sujet qui me parle bien té !
    J’ai arrêté de fumer il y a 17 mois.
    Moi, grande fumeuse depuis 16 ans, je fumais un paquet par jour… La clope était ma meilleure amie!
    Tout comme toi j’adorais mes clopes, j’adorais fumer, les petites habitudes qui vont avec , la vie que l’on a avec ces saletés.
    Mon entourage passait son temps à me demander quand j’allais arrêter et j’adorais leur répondre que j’en avais aucunement envie…
    Mais voilà, de plus en plus essoufflée, des problèmes de sous, et un fric monstre passé dedans, une addiction de plus en plus tenace, j’ai mis 3 mois à me le répéter tous les jours dans la tête, que j’avais envie que cela s’arrête, et de reprendre ma liberté !
    J’ai fini par prendre rdv chez un hypnotiseur (le meilleur) à Bordeaux, j’ai fumé 2 clopes d’affilée avant d’entrer, la séance à duré 1h, et je suis ressortie en filant mon paquet de clopes à une inconnue.
    Depuis je n’y ai plus jamais touché, je suis tellement heureuse d’être ENFIN LIBRE !
    Peu importe le moyen, il faut vraiment faire un travail sur toi, et te sentir sûre et prête de l’arrêt puis utiliser le moyen qui te convient le mieux.
    Je te souhaite bon courage et j’espère que tu en sortiras 😉

  19. Répondre Mahie février 16, 2016 à 9:29

    Alors moi j’essaye aussi d’arrêter avec une cigarette électronique, pour moi pour mon petit fils et surtout pour mon fils qui fume beaucoup trop pour lui donner l’exemple même si il a 30 ans
    J’ai arrêté pendant mes 3 grossesses, je fume rarement avant 14 h, j’arrête de fumer dès que je suis malade mais c’était mon petit plaisir, ce n’est pas le même plaisir avec la cigarette électronique alors j’espère que dans quelques semaines je m’en passerai totalement
    Courage ! Tu vas y arriver même si tu dois être une mégère parfois
    Pourquoi pas un challenge avec tes enfants ?

  20. Répondre Mélanie février 16, 2016 à 9:41

    Bonsoir Camille,

    J’ai arrêté de fumer une fois par amour, mon chéri de l’époque commençait à tousser à chaque fois que j’allumai une clope. Alors que je soit malade à cause de la cigarette ok mais lui n’avait rien demandé. J’ai lu le fameux livre et ça m’a aidé.
    À cause d’un boulot stressant j’ai repris bêtement, et j’ai arrêté quand je suis tombé enceinte. Enfin pas tout de suite mais médecin et mon chéri m’ont dit des phrases chocs. Mon Medecin m’a dit que J’avais quand même une très bonne raison d’arrêter et que si je ne le faisais pas, jamais je n’arrêterai. Et mon chéri m’a dit que je serais la première à râler contre une femme enceinte qui fume.
    Je sais que la clope n’est qu’une béquille, je gère 10 fois mieux mon stress maintenant.
    Le manque est psychologique, quand tu dors la nuit. Tu ne te réveilles pas au bout de 2h pour aller fumer une cigarette.
    Quand j’ai envie de reprendre, je repense à la campagne de pub. Celle oú on entend une mère dire enrevoir à ses enfants car elle va mourrir d’un cancer lié à la cigarette. J’ai envie de profiter de mon fils très très longtemps et même si il y a pleins de choses qui peuvent raccourcir ma vie, la clope n’en fera pas partie.
    On est plus forte que la clope, allez Camille courage. Et puis si tu as besoin tu as pleins de followers qui te soutiendront. Moi j’y crois. Je ne dis pas que ce sera facile tous les jours mais le bénéfice en vaut le coup.

  21. Répondre Bouliloue février 16, 2016 à 10:04

    Bonsoir Camille,
    Je ne suis pas trop dans ton cas (désolée)…. Mais je suis fumeuse! Je fume 1 à 2 cigarettes par jour, voire plus en soirée, voire aucune qd je suis avec des gens qui ne fument pas… Tu vois, je ne suis pas du tout dans ton cas! Mes parents et beaux-parents ne fument pas non plus, mais ont été fumeurs! Et ils ont arrêté du jour au lendemain, je veux bien les croire…. Sauf que! J’ai un mari qui fume et qui essaye d’arrêter depuis 9 ans sans y parvenir… Il a essayé les patchs, l’hypnose, le psy sans succès… Alors je n’ai pas de recette, je comprends ton desarroi de mère qui s’est emportée sur ses enfants, parce que les fois où ma mari a tenté d’arrêter il était très à cran!!!! J’ai croisé de très nombreux fumeurs et quasiment chacun d’entre eux avait eu une méthode différente, alors te donner une piste ou une autre en expliquant que c’est la bonne serait malhonnête… Malgré tout j’ai retenu que tous ceux qui ont tenté des alternatives ont fini par arrêter sans aucun substitut et du jour au lendemain peut-être parce que leur volonté avait fini par prendre le dessus… Moi je suis entre deux, je fume et je ne fume pas…. Ce qui fait que je ne me fais pas trop c’est l’odeur, cette odeur sur mes mains, dans mes cheveux, sur mes vêtements… Cette même odeur que mes enfants pourraient sentir sur moi. Et puis la raison absolue est la peur de la maladie et d’en mourir…. Et ça c’est imparable!! Voilà tu sais tout! Je te souhaite une belle grande réussite dans ton nouveau défi! Cela en vaut vraiment la peine!

  22. Répondre eloelo février 16, 2016 à 10:11

    je n’ai jamais fumé mais je te soutiens à 300% !!!!
    Tu vas y arriver, le chemin va être long et semé d’embuches mais tu PEUX le faire, j’en suis convaincue.

  23. Répondre Carole Selky février 16, 2016 à 10:35

    J’ai arrêté de fumer le 15 janvier 2013. Il y a 3 ans et un mois. Je fumais depuis mon adolescence. J’ai jamais réussi à arrêter auparavant malgré les grossesses (j’avais sacrément diminue mais pas réussi à stopper.. Pas bien je sais).
    J’ai tout essayé acupuncteur hypnotiseur un espèce de marabout à aiguës mortes : foutaises.
    Patch avec diminution progressive sur 3 mois.
    Et cigarette électronique avec diminution progressive du dosage de nicotine. Je l’ai abandonnée qqes mois plus tard. Mais elle est tjs ds mon sac. Au cas où. Pr pas justement partir au bureau de tabac en cas de crise.je t’avoue que les premiers temps sont durs oui tu seras à cran ou tu vas compenser en grignotant…. Moi j’ai pris 3 kilos. Mais je suis naine dc je bourrelette un peu. Mais tu sais quoi. J’ai plus du tout envie maintenant et putain que je suis fière de moi.
    A la fin ça me dégoûtais aussi et j’en avais assez de tousser et de flipper. Je pense que ça a aidé. Mais oui fais toi aider. Mets des Patchs. Bois de l’eau et aére toi. Tu avs y arriver.
    (Moi j’aimerais me mettre au crochet tiens quand je vois les merveilles que tu fais !!!)

  24. Répondre Gilson février 16, 2016 à 10:38

    Mon mari arrête enfin. 2 paquets par jour. Aidé par le médecin et le champix. Le médicament supprime le plaisir ressenti lorsque tu fumes. Pour le geste il a une cigarette électronique qu’il ne sort que très rarement. Courage, Camille.

  25. Répondre Madame Ordinaire février 16, 2016 à 11:39

    Avant de raconter mon vécu, je tiens simplement à te dire que le déclic c’est déjà le début!
    J’ai fumé pendant près de 10 ans, environ un paquet par jour. Pour une raison que j’ignore, la cigarette a commencé à me dégoûter. L’odeur (sur mes vêtements, dans mes cheveux, mes mains…), les dégâts qu’elle causait à ma santé, la dépendance qu’elle m’infligeait… Pratiquement du jour au lendemain, j’ai arrêté de fumer. Je ne te cache pas que pendant plusieurs jours j’ai été odieuse! Je supportais très mal la compagnie de fumeurs et pour un peu j’aurais essayé de convaincre tout mon entourage d’arrêter avec moi! Je compensais mon manque par une activité sportive et ça m’a beaucoup aidée. Voir que mon corps retrouvait des formes tout en retrouvant mes capacités olfactives et gustatives, un vrai plaisir!
    Je n’ai pas fumé pendant près de dix ans et puis, l’an dernier j’ai recommencé à fumer… Des soucis personnels et le besoin d’une toute petite pause dans mes journées. Moi qui pensais être une vraie fumeuse, je découvre que je peux fumer occasionnellement sans redevenir dépendante. Il a fallu du temps mais finalement ça a marché!
    Je te souhaite beaucoup de courage!!

  26. Répondre Priscille février 16, 2016 à 11:46

    J’ai mis 3 ans à arrêter de fumer. J’étais une (très grosse) fumeuse. Le livre d’Allen Carr et aucune cigarette pendant 7 mois. Une contrariété et 2, 3 clopes puis rien. Une reprise pendant des vacances et j’ai remis 4 mois à arrêter avec des gommes à la nicotine. Je suis devenue accro à ses gommes. Je devenais dingue sans elle. Puis pour arrêter ces gommes, je suis devenue accro aux pastilles à la nicotine qui fondent sous la langue, puis accro aux chewing gums puis accro aux tic tac.Mes collègues me trouvaient un peu folle; je passais pour la fille toujours accro à quel que chose. J’ai souvent cru que je n’y arriverai jamais.
    Je vis maintenant libre de ses addictions depuis 6 ans et je peste intérieurement contre la fumée de cigarette et l’odeur de tabac froid. Tous les jours je savoure cette liberté retrouvée. Boire beaucoup d’eau et aller courir quand l’envie devenait insurmontable. Chaque clope non fumée est une victoire. Plein de courage !

  27. Répondre Daphné février 17, 2016 à 12:15

    Je n’ai jamais fumé mais mon cher et tendre fume depuis bien trop longtemps. Difficile de comprendre cette sensation de manque quand on l’a pas vécue. J’aimerais savoir comment l’aider à trouver en lui la force de dire stop. Ce serait bien aussi que des fumeurs, ou ex-fumeurs aident les non-fumeurs à trouver les mots justes pour accompagner celui qui arrête – même si la décision d’arrêter ne peux venir que du fumeur, je suis persuadée que l’entourage peut aider efficacement.

    Forza Camille !

  28. Répondre Rocha février 17, 2016 à 1:27

    Bonsoir Camille, Grosse journée Dimanche, et la volonté de cleaner l’appart pour bien démarrer la semaine, au bout du 4 éme coup de serpillère les mains au sol, j’étais essoufflé comme si je venait de grimper 5 étages, et là mon cerveau me dit: c’est la clope ma vieille, tu fumes depuis 20 ans, mais tu n’a plus 20 ans, si tu clapse là maintenant on dira elle est morte en faisant le menage, c’est quand même stupide? Et ta gamine tu veux la mettre en école montessori, 550€/ mois, soit 70 de plus que la crèche, et c’est ton budget clope sur 20 jours, j’ai mis mon cerveau en off, et ai été m’en griller une, mais la petite voix ne m’a pas laissé de repris depuis. En 20 ans, je n’ai jamais tenté d’arrêter, sur la photo prise 4h avant la naissance de bouclette, j’avais ma perf à la main gauche, et une clope à la main droite! Je fait le ramadan, et tiens sans soucis une journée sans fumer, donc pas de raisons de ne pas y arriver, d’autant que je ne supporte plus l’odeur de tabac froid dans mes placards, le fait de faire la gueule au chéri parce qu’il a pris la dern clope, ou encore de parfois compter les pièces jaunes pour ne pas sortir un billet, alors que c’est les pièces jaunes quoi! C’est pour Mme Chirac!
    Bref, pour la première fois, je me questionne sur le sujet, et bizarrement depuis Dimanche je n’ai fumé que 5 clopes, c’est 5 de trop, mais je veux y aller progressivement, et y arriver!
    Mon commentaire ne t’aideras probablement pas, mais me voilà totalement en petite culotte (quand même), sans le courage de me relire, soit indulgente et merci de m’avoir permis de mettre des mots sur cette satanée petite voix qui crie victoire!
    Bon courage.

  29. Répondre Marjorie février 17, 2016 à 1:50

    Bonsoir Camille,
    Je me retrouve également dans tes propos. J’ai essayé sans succès d’arrêter seule, avec un tabacologue, avec des patchs, acupuncture, le livre d’allen carr, du champix sans jamais réussir.
    L’année dernière j’ai tourné autour de cet arrêt pendant 6 mois. Je fumais un paquet par jour depuis 15 ans. Je n’ai même pas arrêté pendant ma grossesse. J’ai essayé de ralentir, je suis passé des clopes aux tubes ce que je détestais. Sans arriver à passer le cap. Je devenais énervée, anxieuse,…, je me détestais de ne pouvoir y arriver seule. Mon amoureux m’a incité à retourner me faire aider par un tabacologue. Cette fois ci, j’étais prête. Les kilos, prête à les prendre également. En me disant que je ferais tout pour les perdre après.
    Ce tabacologue m’a aidé, soutenu. Prescris les bons dosages de patchs surtout. J’ai installé une appli sur mon téléphone pour compter les clopes non fumées, les bienfaits, les économies, ça m’a bien aidé au début. Ça fera 8 mois que j’ai arrêté dans quelques jours et j’en suis très fière. Ça a chamboulé pas mal de choses dans ma vie. En mieux. Je ne sens plus le tabac, je ne cours plus en acheter en panique de peur d’en manquer. Je ne sors plus toutes les 5 minutes pour fumer. Je ne vais pas mentir, ça a été très dur pour moi. Mais aujourd’hui je suis heureuse d’en être sortie.une fois les habitudes envolées, c’est devenu plus simple Et chose importante, je n’ai pas pris un seul kilo. Sans y penser. J’ai réussi à ne pas compenser par de la nourriture. Voilà, en espérant que cela t’aide un peu. Je me croyais également sans volonté ( j’essaie de me mettre au sport, mais ça je n’y arrive pas..) Je te souhaite plein de courage pour cette bataille.

  30. Répondre Am février 17, 2016 à 6:27

    Bonjour Camille
    Ton témoignage me parle beaucoup. Je vais te faire part de mon expérience en quelques mots. J’ai arrêté il y a 2 ans et demi grâce à un suivi avec un tabacologue a l’hôpital ( c’est gratuit).j’ai compris la dépendance physique et la dépendance psychologique, j’ai appris à construire ma motivation ( la volonté ne suffit pas) et à me sentir solide face à mon sevrage. De nombreuses méthodes sont efficaces, tu trouveras la tienne! Je te souhaite une belle vie sans tabac.

  31. Répondre Pomme d'Api février 17, 2016 à 6:47

    Bonjour,
    je connais trop bien ce que vous avez ressenti, parce que j’ai arrêté plusieurs fois de fumer (et aussi repris).
    J’ai pu arrêter une fois grâce à un livre ‘la méthode simple pour arrêter de fumer » d’Allen Carr. Livre assez rébarbatif à lire parce que ça provoque une espèce de lavage de cerveau (enfin je l’ai vu comme ça). Il faut s’accrocher jusqu’au bout pour le lire, mais ça a fonctionné ! Bon ensuite, j’ai repris la cigarette parce que arrêter, même si ça n’est pas simple, c’est faisable mais ne pas reprendre, c’est presque plus compliqué. Une autre fois, j’ai arrêté sans aucune aide. J’en ai moi même été surprise. J’ai mûri ma décision pendant plusieurs mois, et hop, j’ai réussi à arrêter. Mais là encore, j’ai repris…. Et puis d’autres fois, j’ai arrêté avec des patchs et là aussi ça a fonctionné. L’avantage du patch est qu’il délivre un peu de nicotine dans le sang, par conséquent on ne subit pas ces changements d’humeurs qui font que d’un coup d’un seul on se sent très très « spleeneuse » ou alors super agressive…
    Courage, on peut toutes y arriver (dit celle qui pour le moment n’y arrive pas)…. Chacun sa méthode et surtout, si on défaille et que l’on reprend la cigarette, ne pas assimiler ça a un échec mais à une « erreur de parcours » 😉

  32. Répondre ASo février 17, 2016 à 8:23

    Bonjour Camille ! impossible de ne pas me lancer sur ce sujet !
    J’ai fumé à 14 ans, en seconde quoi et j’ai commencé à détester tout dans la clope vers mes 24 ans… J’ai arrêté à 28, en septembre 2011. Après au moins 3 échecs sur 4 ans…
    Je plante le decor, j’étais grosse fumeuse au moins un paquet par jour. Je voulais arrêter depuis au moins… 7 ans je pense…. Un jour j’ai eu le déclic et j’ai choisi une date à moyen terme, un mois plus tard . Ça m’a permis de vraiment me faire à l’idée. C’était le dernier mariage de l’année 2011. Un 5 septembre je crois. Je l’ai dit à mon mec, ma mère et ma meilleure amie, histoire de pas être seule et de rendre la chose officielle, mais de pas avoir la honte devant le reste du monde en cas d’échec…
    J’ai téléchargé l’appli mylastcigarette et c’était parti.
    A ce jour c’est la chose la plus dure que j’ai jamais faite. Aucun substitut pour moi, juste ma volonté et le soutien de mon mec (et ma mère)
    Tu dis ne pas être héroïnomane ? Quand j’ai arrêté j’avais l’impression de revivre des scènes de trainspotting ou de requiem for a dream… Je crois que c’est normal. Vertiges dus au manque à plus pouvoir se concentrer en réunion, réveil en sueur et en panique au milieu de la nuit, exécrable, le matin je crachais des glaires vert fluo (glamour). Je pense que j’ai été dans le dur environ 15 jours.
    L’appli m’a beaucoup aidé, je voulais retrouver tous les indicateurs au vert qui te disent que tu es en pleine santé… C’était mon but sur l’année !
    Chaque semaine passée je me faisais un cadeau (je n’ai donc fait AUCUNE économie en arrêtant de fumer)
    J’ai aussi beaucoup bu à ce moment là (on sortait beaucoup et le temps que je passais à fumer avant, je l’occupais en buvant plus vite). Je m’en suis rendu compte plus tard…. Ça a aussi contribué aux dix kilos de rab affichés par la balance 🙂 C’est rentré dans l’ordre assez vite (je ne suis pas alcoolique et je ne descend plus les mojitos aussi vite) mais je voulais surtout pas me couper de mes amis, même fumeurs. Je crois que c’est important de rester connecter avec la réalité et d’accepter qu’on se bat contre une addiction. Tu risque d’être horrible avec tes proches. Mais le jeu en vaut la chandelle. Il faut accepter qu’on y mette beaucoup d’énergie.
    Aujourd’hui, 4 ans 1/2 plus tard, j’ai toujours envie de fumer quand j’ai un coup dans le nez, mais ce qui me retient, c’est que PUT*** ça a été tellement dur d’arrêter la première fois !
    Bon courage, et n’hésite pas si tu veux du soutien, je te jure qu’on se sent tellement bien, tellement mieux, juste un mois plus tard. Des bises et de la force xx

  33. Répondre Rose février 17, 2016 à 9:21

    Ah là là l’arrêt de la clope quelle histoire…
    J’ai arrêté d’un coup il y a 5 ans. En m’apercevant que je n’avais pas fumé depuis plusieurs jours je me suis dit que je pouvais complètement arrêter, en fait qu’est-ce que j’ai galéré ! D’ailleurs au début je n’ai rien dit à personne pour ne pas devoir annoncer une semaine plus tard que « ah bah non j’ai repris !  »
    Depuis j’en ai toujours envie (oui je sais, pardon, c’est pas très encourageant) surtout quand je bois des coups ^^ Et comme dans ces moments là ma volonté a tendance à un peu flancher, je craque, je tire une latte sur celle d’un pote et… je me rends compte que ça me dégoute totalement !
    Arrêter c’est une belle liberté, on arrête de puer mais surtout la preuve qu’on peut le faire, qu’on a beau croire qu’on a la volonté d’un marshmallow (en plus des fesses, oui, oui) et qu’on est un peu nulle en fait non pas du tout !
    Plein de courage, tu vas y arriver et ça va être top !!!

  34. Répondre Lundi27 février 17, 2016 à 9:28

    Bonjour Camille,
    Je n’ai jamais fumé… À peine crapoté quelques tafes en soirée… De ce côté là, je ne vais pas être d’une grande aide.
    Mais pendant des années, j’ai été boulimique, je mangeais et je me faisais vomir. J’allais acheter de la nourriture (beaucoup, que des saloperies), je rentrais, je me pesais. Je mangeais tout ce que je venais d’acheter, vite et sans plaisir, pour me remplir. Puis, j’allais me faire vomir jusqu’à peser moins lourd que ce que je pesais avant.
    C’était un vrai budget (j’étais toujours dans le rouge), c’était hyper dangereux, je le savais mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Un jour, j’ai eu un déclic et j’ai voulu arrêter.
    Il y a eu quelques petites rechutes, il y en a même encore de temps à autre. Je sais que je suis borderline, n’importe quoi pourrait me faire rechuter mais, pour le moment, je tiens bon… Ça fait 7 ans…
    Je te souhaite de tenir le coup et de réussir ce nouveau défi ! Je crois en toi et je ne suis pas la seule ! Tu es entourée et tu as une volonté d’acier, j’ai pu m’en rendre compte à chacun de tes posts. TU VAS RÉUSSIR !!!!
    Je t’embrasse.
    Céline

  35. Répondre Cha février 17, 2016 à 9:43

    Bonjour Camille,
    Bravo pour ce pas mental franchi ! Par contre quand tu dis que tu n’es pas héroïnomane… non c’est sûr. Mais il faut savoir que la nicotine est une drogue très puissante, dont le pouvoir addictif est presque équivalent à celui de l’héroïne. Les effets de la prise de ces substances sont différents car l’héroïne modifie considérablement la communication entre les neurones, la nicotine moins. Ce qui explique que les personnes qui fument des cigarettes ont un comportement normal, sauf en cas de manque. Personnellement je ne fume pas mais je travaille dans un organisme de recherche publique en santé, d’où ma connaissance du sujet. Je te souhaite beaucoup de courage et n’hésite à te faire accompagner (humainement et par des substituts).

  36. Répondre Penat13 février 17, 2016 à 10:11

    J’avais 17 ans et j’étais folle amoureuse d’un garçon qui ne me regardait pas. Depuis quelques mois je fumais pour faire comme les autres . A une soirée il s’est approché de moi et m’a dit que j’étais si jolie quand je ne fumais pas. Autant te dire que j’ai tout arrêté et que je n’ai pas fait ma vie avec lui non plus !bon courage ma belle

  37. Répondre lunachacha février 17, 2016 à 10:34

    Allez courage Camille! Je ne pourrai pas être d’une grande aide à 40 ans dans 2 mois, je n’ai jamais touché une clope! J’ai juste vu mon Grand père mourir sur un lit d’hôpital partir bien trop tôt en raison de cette grosse merde!
    Mais je suis certaine que tu vas y arriver, tu te poses déjà les bonnes questions! Bisous

  38. Répondre Alice février 17, 2016 à 10:40

    Tu vas y arriver ! c’est sur
    On est toute là avec toi, derrière toi, pour t’encourager et te dire que c’est bien, tout ce petit pas, c’est comme ça.
    Bises

  39. Répondre PhiloSophiedevie février 17, 2016 à 3:11

    Bonjour Camille,
    C’est une repentie de la clope en plein craquage qui commente… Mais qu’importe, je ne suis pas là pour parler de ça, vous cherchez des pistes et je vous en soumets une: se fixer une date pour s’arrêter, un jour J avec ou sans importance pour vous. Mais se donner une date c’est important. Parce qu’à partir de là, le mantra ne sera plus « je vais y arriver » mais « j’y arrive ». Dès ce jour J, se fera sentir une liberté qui se donne à soi sans la clope et très vite, on l’apprécie cette nouvelle liberté! Quand l’habitude nous guidait vers la clope ou que l’envie vient très fort, s’aimer encore plus fort. C’est par amour pour soi, par respect pour son corps que l’arrêt de la cigarette prend son sens. La prise de poids, on ne va pas se mentir, ça arrive. Mais comme je l’avais lu sur un site de sevrage, mieux vaut avoir dix kilos de trop que n’en peser plus que 40 sans espoir de rémission. Et je trouve que Marie DM a bien décrit l’aide que peut apporter un enfant dans cette période… Vous avez deux beaux enfants dont vous nous faites souvent partager les bons mots et leur sagesse. Sûr qu’ils sauront être de bons alliés dans les moments les plus pénibles! Glisser dans une tirelire les sous ainsi économisés et rêver à ce qu’on va faire de ce pactole, c’est aussi un réconfort face au manque.
    Voilà ma suggestion… Je vais d’ailleurs la reprendre à la lettre pour retrouver ma situation d’abstinente très vite. Tiens, on est année bissextile. S’arrêter un 29 février, c’est rigolo non??
    Courage Camille, vous y arriverez, vous avez tout pour bien faire!
    Bien à vous
    Sophie

  40. Répondre fionoux février 17, 2016 à 3:30

    Bon alors allons-y! J’ai arrêté de fumer du jour au lendemain, il y a 7 ans après une grosse fête, décision prise 15 jours avant (je crachais du vilain tous les matins, dégoutée). J’ai fait 15 jours de blues, sans sorties ni alcool ni tentation d’autres fumeurs obligée de boire 1L de café par jour pour pas m’endormir, et oui la clope c’est un excitant! pris 2 kg c’est tout. Je fumais environ 15 clopes par jour, depuis 15 ans.Pendant les premiers mois d’arrêt, je repérais tous les fumeurs à 100m à la ronde, même en voiture je sentais l’odeur de la clope de la voiture qui me précédait, je me suis rendue compte que je connaissais tous les horaires de bureau de tabac et jours d’ouverture! Puis petit à petit j’ai oublié la clope… Un an plus tard grossesse, allaitement et puis j’ai repris au bout de 3 ans, comme ça petit à petit! nouvel arrêt pour une seconde grossesse suivie d’allaitement et j’ai repris aussi, cela fait un an que je fume à nouveau, 5 clopes par jour à peu près. Je sais que je peux arrêter, des fois je stoppe une semaine et puis ça repart, l’amoureux fume aussi! Voilà pas de solution mais juste pour dire que j’ai arrêté sans rien parce que ça me dégoûtait, l’odeur, et ce *#$**** de glavio matinal m’a fait flippé! Et puis j’ai repris moins fort qu’avant et j’espère à nouveau arrêter….pas cool pour les enfants des parents fumeurs. ( Et pour le poids, beh depuis les 2 grossesses, plus mince que jamais! On est tous différents!)Bon courage!

  41. Répondre fleur février 17, 2016 à 4:03

    Tu l’as l’arme secrète : l’en-vie ! La vraie envie, il n’y a que ça de vrai !! Pas besoin, je pense, de « t’encombrer » de nicorette et autres patchs. Ces trucs te rappellent sans cesse que tu remplaces la clope par autre chose. Par contre, sans doute que le yoga ou peut être même juste de prendre le temps de s’octroyer de vraies pauses (comme on le fais quand on fume en fait!) dans la journée aident vraiment à ne pas se laisser envahir par l’envie…
    Alors oui, tu va être en colère, frustrée, tentée, triste… mais tes enfants/proches sauront pourquoi et t’aideront même si tu es odieuse ! Je peux t’assurer qu’ils préfèrent une mère furax (quelques temps) plutôt que de ne plus avoir de mère dans 25 ans. Je sais de quoi je parle !
    De tout cœur, j’espère que tu y arriveras. J’ai arrêté il y a 10 ans. J’ai pris quelques kilos, je les ai tous reperdus sans m’en rendre compte ! 4 mois difficiles pour ne plus JAMAIS y repenser après, c’est pas miraculeux ça ? L’avantage avec l’arrêt du tabac c’est qu’on passe le plus dur la première semaine et qu’après ça se tasse tout seul semaines après semaines…
    Bon courage et fais profiter tes lectrices de ton expérience, tu peux peut-être en sauver 2 ou 3 😉 !!!!!!!

  42. Répondre Evelyne février 17, 2016 à 4:53

    Vous allez y arriver… Comme toute addiction les premiers jours sont très difficiles. Mais quel bonheur et quelle fierté de se dire qu’on est la plus forte ! Je vous soutiens par la pensée…

  43. Répondre Camille R février 17, 2016 à 8:50

    Un petit témoignage d’une Camille à une autre Camille. Je ne suis pas fumeuse, j’ai 20 ans tout rond, quelques bons amis, beaucoup de connaissances et de nombreuses tentations. Une seule et unique raison m’a toujours poussé à dire non à la fameuse « t’en veux une? », sans aucune hésitation. Durant ma septième année, je me souviens d’un papa qui fumait, buvait du café, fumait et s’enfumait perpétuellement. Il toussait, sentait le tabac. Puis un jour, il a fait une pneumopathie sévère, des pneumonies à répétitions. Une maladie que l’on ne réussissait pas à soigner malgré tous les traitements. Il avait les poumons noirs. Tellement noirs que le médecin lui a dit « Vous voulez vivre ou vous voulez fumer? Aujourd’hui, je vous demande de faire un choix parce que vous allez en mourir monsieur. »
    Je me rappelle de ses terribles colères, de ses pleurs, de ses tremblements tellement il l’a eu dur. Il tenait sans cesse un stylo comme une clope, juste pour le geste, l’habitude. Et ça le soulageait. Il avait répondu : « Je veux vivre ». Et aujourd’hui, je le remercie d’être auprès de moi. 13 ans qu’il n’a pas touché à une seule cigarette. 13 ans qu’il ne regrette rien et qu’il est en pleine santé. Il n’a rien pris et n’a vu personne. Mais il a réussi. Il parle de grande volonté et de patience pour y arriver. Force à toi. Tu vas y arriver. Pour tes enfants, pour ta vie.
    ❤. Camille

  44. Répondre Clairette février 18, 2016 à 8:12

    Cam’, tu es TA CAME, tu te suffis à toi même.
    Et puis, les kilos, … argumentation bancale, que nous avons toutes eue, je te l’accorde.
    Je ne te raconte pas le pourquoi du comment du quand, mais moi aussi j’ai arrêté et même réussi cet exploit de pouvoir refumer une petite délicieuse tous les 36 du mois en soirée sans reprendre, VRAIMENT. #Jesaisc’estpasbien. Et j’ai seulement pris du poids parce que j’ai bouffé comme une dingue car que je ME DISAIS que je devais compenser. MAIS, parce que c’est dans ma nature et que je compense TOUT par la bouffe. Disons, que ce ne sera pas un processus chimique ou physique. Il y en a même qui perdent du poids car elles retrouvent un super équilibre métabolique.
    La famille s’habituera aux sautes d’humeur mais qui ne DURENT JAMAIS. C’est pour le bien de tous. J’adorais fumer mais c’est vraiment de la merde.
    COURAGE, et le rendez-vous pris, c’est TOP.
    Bises de « chelle » Clairette

  45. Répondre Halasz février 18, 2016 à 8:21

    Bonjour Camille. J’ai arrêté durant 3 ans, puis repri l’été dernier ( apéro , soirée potes…) lorsque je fume, une vilaine toux vient souvent m’irriter la gorge. Voici deux semaines que j’ai de nouveau arrêté , d’abord pour ne pas perdre les 10 ans d’espérance de vie, phénomène qui , selon mon médecin serait de toute façon inévitable si je continuai comme ça, ( 15 cigarettes/jours) puis ce qui m’a touché en plein cœur aussi, c’est quand mon père, qui sort d’une grave dépression et semble , sous l’effet des médicaments ne plus s’intéresser à rien même pas à nous, m’a regardé droit dans les yeux en entendant ma toux de cloppeuse du matin . A ce moment là il m’a dit : » j’ai un argument imparable ma fille » ah oui lequel?  » Manon ( ma fille de 18 mois) a besoin de toi!) alors cet argument m’a aidé beaucoup je dois dire. Et puis ces pulsions si terribles qui viennent nous assaillir, on s’apperçoit qu’elles sont très faciles à maîtriser finalement ( une demie bouteille d’eau, une pomme, un sprint , un cri, une danse endiablée dans son salon….) bref, c’est vrai que l’on se sent libres quand on n’a plus ce boulet! Vous allez y arriver Camille c’est certain!!! Tenez bon!

  46. Répondre Welovecharliandcapucine février 18, 2016 à 9:32

    Hello Camille, j’ai arrêté de fumer il y a longtemps maintenant, ça doit faire presque 5 ans, je fumais beaucoup, presque 1 paquet par jour. J’ai souvent arrêté mais comme toi au bout de quelques heures, je n’y arrivais pas, et je fonçais chez le buraliste. Complètement accro, je me souviens d’une soirée, il était minuit, une heure, plus de clope! Aïe! Nous voilà parti, dans les rues de Paris, à la recherche d’un paquet de clopes. Je me souviens du prix prohibitif, mais tant pis il me fallait des cigarettes. Et puis, nous avons décidé d’avoir un enfant. Alors j’ai arrêté. Comme ça, du jour au lendemain. Et je n’ai jamais repris. Et je ne refumerais jamais. Car à la moindre clope, je repartirais comme avant, je le sais. Parfois je rêve encore que je fume, c’est fou, et le matin je me réveille et j’ai peur d’avoir repris, d’être retomber dans ce cercle infernal. Mais ne t’inquiète pas, je sais que tu vas y arriver, c’est un peu comme laisser son petit au Piou Piou! Tu verras, tu seras fier de toi et tes enfants aussi. Des bisous ma belle.

  47. Répondre tagadacat février 18, 2016 à 10:43

    Bonjour Camille,
    pour une fois je vais commenter, soyons fous (folles). J’ai arrêté de fumer il y a fort longtemps, je dirais au moins 12 ou 13 ans maintenant, alors que je fumais depuis plus de 10 ans. Je fumais beaucoup, j’aimais ça, tout mon entourage fumait. J’avais commencé le jour de mon entrée en 1ère, parce qu’un mec que j’admirais m’avait offert une clope –à moi! J’avais une «tête de fumeuse» (=fille cool) alors? Moi la timide? Tu penses bien que je ne pouvais pas la refuser. Bref.
    Et puis j’ai voulu réaliser un rêve et aller faire du cheval au Kirghizstan, c’est-à-dire en altitude. Mon toubib m’a expliqué que j’allais vraiment en baver, qu’il valait mieux que j’arrête de fumer avant. Or depuis quelque temps j’en avais un peu marre : on n’avait plus le droit de fumer au bureau, et alors qu’on avait tous râlé en chœur on s’apercevait que c’était vraiment plus agréable, en fait. Mais du coup on allait se geler les miches pour en griller une. Et puis je mettais des sous de côté pour me payer mon voyage. Et puis parfois j’avais la tête qui tournait, je trouvais ça bête. Et puis je me suis retrouvée parfois le dimanche à faire les cendriers pour récupérer de vieux mégots, et je me faisais de la peine… Alors j’ai arrêté. J’ai acheté des patch, et hardi petit. J’ai un peu mis la pédale douce sur les sorties les premiers temps, parce que boire un verre appelait la cigarette chez moi. J’ai mis physiquement les sous que j’aurais dépensés en clopes de côté, la cagnotte augmentait vite! Mes fesses ont pris du volume, c’est la vie, du coup je me suis mise au sport, et en vrai je me sentais hyper mieux (mais c’était sans doute grâce au sport). Je suis partie sur mes montagnes faire du cheval, et j’étais si heureuse, si fière! J’étais persuadée de n’avoir aucune volonté, et je me suis prouvé que si. Même que depuis ça me sert souvent, je sais que je suis maîtresse de ma vie. Avoir des mômes ça m’a fait pareil d’ailleurs : wahou je suis capable de faire ça? Mais c’est extraordinaire!
    Mais pour ne rien te cacher j’ai encore envie de m’en griller une quand j’ai un verre de trop dans le nez, quand je suis avec mes amis (bien que beaucoup aient arrêté aux aussi, c’est fou comme plus personne ne fume autour de moi, ou occasionnellement), quand le soir tombe l’été, que je suis à la fraîche sur les marches de l’escalier dans la cour chez ma mère, quand je bois un café… Mais comment dire? Ca fait partie de moi, j’ai envie mais ce n’est pas «grave», c’est comme un pincement, ça passe vite.
    Bon courage en tous cas, je suis certaine que tu y arriveras. Ca prendra peut-être du temps, il y aura peut-être des péripéties, peut-être pas, le tout c’est d’être en harmonie avec tes envies. Bonne journée!

  48. Répondre Virginie février 18, 2016 à 10:48

    Bonjour Camille,
    Je témoigne pour mon homme, 40 ans dont plus de la moitié à 2 paquets jour, jamais ressenti le besoin d’arrêter comme toi beaucoup de plaisir pris dans cette « liberté » qu’il disait. C’est l’aspect financier qui l’a motivé. Ca lui a pris d’un coup, il a appelé un acupuncteur, alors qu’il ne croit pas du tout à ce genre de pratique, et après une séance mêlée à de l’hypnose, il n’a plus fumé… Cela fait plus d’un an, et comme il dit il ne sera jamais un non fumeur, simplement un ancien fumeur qui ressent encore le manque mais apprend à vivre avec… Quelques kilos pris en contrepartie, mais ça le vaut bien!
    Voilà, courage à toi si tu prends cette décision, et tu sais quoi, ce qui me rend le plus heureuse, égoïstement moi la spectatrice de cette histoire, c’est de l’avoir vu si fier (et étonné ) de lui-même !
    Belle journée Camille !

  49. Répondre mulholland février 18, 2016 à 1:45

    je réagis juste à la phrase: l’hypnose non je n’ai pas envie que quelq’un rentre dans ma tête.
    Eh bien ce n’est pas du tout le cas! personne ne rentrera dans ta tête! c’est dommage de se priver d’une merveilleux outil qui peut être une aide fantastique. Mon compagnon a arrêté avec l’hypnose en 4 séances il y a presque 5 ans.
    La personne qui hypnotise n’a pas une sorte de sonar qui pourra ensuite dire toutes tes pensées tes questionnements ton histoire personnelle.
    je vois plutôt ça comme un décorateur d’intérieur : tu as aménagé ta tête d’une certaine manière parce que cela te convenait ainsi et un jour tu as envie de changer: il va t’aider à changer les meubles à te débarrasser de ceux que tu n’aimes plus ou qui t’encombre.

    bon courage.

  50. Répondre Géraldine février 18, 2016 à 4:46

    Alors moi je n’étais pas une grosse fumeuse et ma première grossesse accompagnée de nausées ont eu de raison de la clup, tou tme dégoûtait.

    Mon mair a réussi à arrêter il y a 3 ou 4 ans maintenant. Il s’est aidé d’une appli pour Iphone de Michel Simens, tu sais celui qui anime les émissions Santé. C’était sympa, ludique et je pense que quelque part ça l’a aidé un peu. Il machouillait aussi quelques chewing gum de nicorette… Il a pris du poids oui mais l’a reperdu.

    Bon courage et j’espère que tu trouveras la solution qui te convient pour arrêter.

  51. Répondre Ana février 18, 2016 à 10:28

    Bonsoir Camille.
    Quel bel article, tellement vrai.
    Je ne fume pas, mais mon conjoint si. Et c’est notre triste réalité économique qui l’a obligé à arrêter. Un jour, il n’a plus pu acheter de cigarettes et depuis il ne peut toujours pas. Je suis admirative, d’autant plus que ce n’est pas un choix mais une nécessité. bien sûr, il y a aussi eu des jours où son langage a été particulièrement fleuri et où j’ai pris ma fille sous le bras pour sortir quelques heures, le temps que l’envie passe. Je croise les doigts très fort pour qu’il ne reprenne pas le jour où tout ira mieux pour nous.
    Bon courage à vous.

  52. Répondre Emy février 19, 2016 à 9:43

    Bonjour,

    Je crois que beaucoup de fumeurs ont juste peur de ce manque, mais comme toi, un jour, j’en ai eu marre de fumer, malgré le fait que j’appréciais au début…
    Alors … j’ai lu « La méthode simple pour arrêter de fumer » d’Allan Carr … ça m’a coûté 7 euros … j’ai lu, pas trop vite, car c’est a la fin du livre qu’on arrête de fumer … la dernière page, j’ai mis une semaine pour la tourner… mais ça fait plusieurs années déjà et je n’ai pas DU TOUT envie de fumer et l’odeur de cigarette ne me gène pas non plus … car j’en suis détachée totalement !
    Juste un bouquin ! (et j’ai une volonté en carton sur ce genre de choses ! )

  53. Répondre Marjanepire février 19, 2016 à 10:04

    Je ne pense pas qu' »arrêter de fumer soit une question de volonté
    Ce n »est pas a cet endroit que ça se situe
    Sinon quoi ?! Ca signifie qu' »on n »à pas de volonté si on n »arrive pas a arrêter ?!….
    Alors il faut se coltinerr en plus cette culpabilité la ?!

    Non vraiment c »est pas la….

    On arrête mais c »est autre chose que de la volonté en fait qui est le moteur
    C »est comme pour plein d »autre trucs :trop acheter trop bouffer….

    En fait c »est plutôt je crois un inverse de la volonté pas complètement le contraire mais comme l »autre face …. c’est plus un « lacher » un lâcher prise, un abandon, on laisse tomber qqch qui avait une fonction on se découvre on se met plus à nu plus en danger, plus seul et finalement on gouté a un autre état de présence

    En tout cas c’est mon expérience
    Et Marie du blog « une chic fille » en parlait aussi comme ça

    Alors j »ai envie de dire fait toi ce cadeau…. c »est cool …

  54. Répondre Wafa février 22, 2016 à 5:54

    Comment ai-je pu louper ce billet? Alors crois-moi je te comprends à 200%, j’ai fumé des années à la fin presque 2 paquets par jour et puis un jour une grippe, j’essaye de me lever pour aller chercher des clopes (la folle) et je tombe dans les pommes. J’ai eu tellement honte que je suis allée consulter une tabacologue. Patchs pendant 3 mois et 8 ans sans fumer. Et puis j’ai eu mon 1er enfant et vas savoir pourquoi après l’allaitement j’ai repris la clope. pour arrêter quelques mois plus tard quand j’ai su que j’étais à nouveau enceinte. Puis rebelotte. Je fume 1 paquet par jour mais là je n’en peux plus alors je vais voir un accupuncteur et puis patchs dès que les choses se calment côté boulot. Courage tu vas y arriver

  55. Répondre carotte février 24, 2016 à 10:14

    Oulala ! Mon arrêt de la clope date d’il y a longtemps, maintenant. J’avais réduit progressivement, sur plusieurs années, en me mettant moi-même au défi « pas de cigarette avant le petit déj » (oui, j’étais une accro), puis « pas de clopes avant midi », puis petit à petit « pas avant 17h », « pas avant le repas du soir », « pas plus de 5 par jours ». Je ne dis pas qu’il n’y avais pas de dérapages parfois, mais au fil du temps, j’en étais arrivée à ne fumer que le soir, 5 clopes maxi, même en soirée. Et puis monamoureux est parti en formation à 700 km de la maison pour 1 an. Il était en coloc avec des non-fumeurs, j’étais seule à l’appart et c’était moins sympa de cloper seule. Sans s’être concertés, on a décidé d’arrêter en même temps, chacun à son bout de France. J’ai gardé dans un tiroir un vieux paquet au cas où, mais je n’en ai pas eu besoin. Et c’est comme ça que j’ai arrêté.
    Il y a eu une période où j’ai repris un peu, je fumais une ou 2 clopes quand je sortais, que je taxais à ma potesse de soirées. Alors je lui achetais un paquet de temps en temps. Et on a décidé de faire un bébé. J’ai définitivement stoppé. J’ai allaité 2 ans, pas de clope. Et quand après l’allaitement, j’ai tiré une taffe sur la clope de ma frangine après ça, j’ai eu l’impression qu’on me brûlait les poumons, ça a été horrible, je n’ai plus jamais tenté.
    Pour la prise de poids, par contre… J’ai essayé de faire attention, plus de sport, tous mes déplacements en vélo… Mais le sevrage + monamoureux loin avec petite déprime + préparation du concours d’instit pour changer de vie et gros stress = quelques kilos en plus (que j’ai reperdu assez facilement juste avant de tomber enceinte). Il va falloir que tu résistes à la tentation de la brioche, de la tarte aux pommes et de toutes ces petites douceurs que tu fais pour tes amours.
    Je te souhaite un bon courage. J’ai envie de te dire que si l’envie est là, la motivation, tout est possible, même si c’est dur.

  56. Répondre laureteld février 27, 2016 à 9:19

    Que de réponses Mme Rita….tout le monde se met en slip visiblement sans crainte et sans honte. Tout ceci nous rend bien plus humain…discutant avec plaisir de nos faiblesses…
    Et bien moi aussi je suis une fumeuse parfois bien malheureuse…j’explique dès que je le peux à mes enfants pourquoi ils ne doivent jamais commencer…Parce que ce n’est ni plus ni moins qu’une drogue…Que je ne veux pas qu’un jour ils aient à se poser la question : « comment je fais pour savourer un bon moment ou un mauvais @!!!…sans « elle »??? est ce que je peux vraiment profiter de la vie sans « elle »? La vie sans « elle » je trouve ça triste…

    Et puis j’ai arrêté plusieurs fois et à chaque fois…je me dis « mais comment font-ils pour fumer comme ça de bon matin…??? » mais c’est dégueu ???!!! ça pue grave,les doigts, les fringues… » ; « le teint gris, les dents, l’haleine de poney, la voix rauque de rockeuse… »
    Et le pire….quand le mot « cancer » s’infiltre dans tout ce que je fume….

    Alors « elle » me fait tout dire, tout et son contraire…c’est là que je sais que c’est une drogue et je suis « grave » manipulée…que des gens se font tout un tas de sous sur ma santé, sur mon mental….qu’il y a tout ce qu’il faut dans cette satanée cigarette pour que je continue, que je sois même de plus en plus accro…

    En septembre j’ai arrêté un mois…grâce à la cigarette électronique…elle m’a vraiment aidée…Dès que je pensais à une clope je tirais sur ma cig @…j’en avais gardé 5 petites (des longues et fines). Ca roulait plutôt pas mal…
    Je retrouvais du temps, je n’avais plus envie de sortir me les peler, j’étais tranquille sur mon canap’s avec des goûts de caramel, de café, de menthe, de fleur d’oranger….Et puis mes 5 petites qui m’en faisaient que 2 et demi…J’étais fière de moi et en accord…Puis j’ai voulu aller plus loin, me débarrasser de la « tueuse » …
    J’ai arrêté donc un mois en tirant comme une malade sur ma cig@…
    Mais il me manquait quelque chose, je n’avais plus envie de fumer, mais quelque chose me manquait….Va savoir…j’ai trop tiré sur ma cig@…je crois que j’ai réussi à m’intoxiquer… J’ai été malade comme un chien…Beurk les odeurs de café et de caramel…je suis devenue très triste…

    C’était juste pas le bon moment…
    Pour ma part je sais que je ne veux pas arrêter complètement…un jour viendra où je ferais comme il y a quelques années…un beau jour j’aurai la force de me dire c’est 2 ou 3 par jour ou plus rien….Tu choisis…Rien ou 2 ou 3????

    C’est très intime ce rapport à la cigarette…à chacun de trouver son chemin…

  57. Répondre Elia mars 6, 2016 à 10:44

    Bonsoir Camille,
    Je suis un peu en retard sur ce coup, mais ça fait un moment que je n’étais pas passée par ici (vilaine fille), et pourtant, tes mots me touchent si souvent si fort…
    Arrêter de fumer, c’est pas simple, mais tout commence par une vraie décision, et t’es plutôt bien partie je crois.
    J’ai arrêté de fumer il y a 6 ans, on a arrêté ensemble, avec mon mari, à cause de l’argent, et parce qu’on avait envie d’un bébé. Forcément , ça aide. On s’est fait aider, par notre pharmacien, avec des patchs et des pastilles à sucer. Mon mari n’á jamais aimé les pastilles, mais moi, elles me redonnaient cette sensation de la première clope de la journée, avec cet apport fort en nicotine. Cela a duré 4 mois, et ça n’a pas était trop dur. Le sevrage ce fait par palier, si bien que quand on arrête le traitement, on ne ressent plus le manque, et avec le temps, le geste et l’habitude sont partis.
    Question poids, j’en ai pris, mais comme je suis tombée enceinte dans les 6 mois, je ne sais pas trop quels kilos venaient d’où…
    Par contre, j’ai retrouvé du souffle, du goût et de l’odorat comme jamais (c’est fou le nez que j’ai!), et mieux encore, et ça je ne l’aurais pas cru, mais ma peau et mes cheveux se sont aussi transformés (en mieux bien sûr! !).
    J’aimais beaucoup fumer. Et je crois que je suis toujours fumeuse, je crois qu’on est fumeur à vie. Du coup, je me méfie un peu de moi. Régulièrement, une odeur dans la rue, une situation, et j’ai une petite envie qui se glisse. Oh, je ne craquerai pas, le geste me dégoûte, et imaginer cette fumée entrer en moi… beurk.
    Il y a tellement de bénéfice à arrêter, et que l’on remarque/ ressent de suite! Ça vaut vraiment le coup.
    Bon courage à toi, et bonne continuation.
    Elia

  58. Répondre Plus une. Un an. – Ritalechat mai 15, 2019 à 5:18

    […] – ici (avant l’arrêt, le déclic) […]

  59. Répondre MA VIE SANS TABAC. SIX MOIS. - Ritalechat février 3, 2020 à 3:03

    […] Le déclic. […]

  60. Répondre ARRÊTER DE FUMER. - Ritalechat février 4, 2020 à 10:54

    […] Le déclic. […]

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