Deux jours anestésiés. Avec le sentiment d’être orpheline d’une partie de ce que j’avais toujours connu. Comme si la mort d’une part de notre patrimoine avait entrainé la perte de quelque chose de plus grand. De plus sourd.
Et puis très doucement reprendre espoir, reprendre le rire. Nous remettre debout.
Debout.
Tout doucement aller à l’essentiel, si basique. Si vital pourtant.
SOURIRE ET ENSEMBLE NOUS REMETTRE DEBOUT.
Je vous embrasse.
3 commentaires
De gros bisous ma chérie et plein d’éclats de rire !!! Je crois que je n’ai jamais autant twitté et Facebooké et pleuré que ces deux derniers jours. Place au rire 🙂
Merci, ça fait tellement de bien de te lire (en général et ces derniers jours en particulier).
J’avoue que cette vague de mobilisation et de solidarité a fait chaud au coeur et rappelle que si certains hommes sont capables du pire, d’autres peuvent le meilleur !